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Sujet: Houna, Houna , Houna ! Sam 27 Fév - 23:34
« introduction ; »
† VAMPIRES †
» nom: Jones » prénom: Houna Emily » statut: Vampires » surnom: H » lieu et date de naissance: 21 octobre à Rome » origines: Italiennes » particularités: parents mort
« je suis ce que je suis ; »
Le plus beau jour de ma vie allait commencer aujourd’hui. Nous sommes le 5 septembre 1980, j’entame bientôt mes 18 ans mais cela fait bien un an jour pour jour que je suis la femme la plus heureuse de ce monde, avec Jonathan mon beau italien qui n’appartient qu’a moi depuis un an, trois heure et 4 secondes. Je passais la journée avec lui, une magnifique journée sous le soleil de Rome, les rues sont remplis de jeunes, faisant les boutiques et s’amusant pour les derniers jours de vacances, lundi la rentrée et nous profitions de nos 3 derniers jours, tout était blindée, les personnes âgée était chez eux comme des personnes normal qui s’ennuient et qui ne ressortirons qu’a partir de lundi, pour peur de se faire voler pour notre génération. Pour notre anniversaire, j’offrais a Jonathan une magnifique gourmette en or, qui avait certainement du me couter toute mes économie et sur lequel était gravée : Aimer jusqu’à la déchirure, aimer, même trop, même mal. A en souffrir, être hanter par son visage à chaque instant. Pouvoir lui donner son âme dès qu’il le désire. Tenter sans force et sans armure, d’atteindre l’inaccessible étoile. Certes le texte pouvait paraître long mais il était écrit en petit et … La rentrée arrivèrent et je me retrouvée dans la classe de ma meilleure amie, tout était parfait ce jour la. Le mois passait rapidement et nous arrivions en octobre, aux vacances d’octobre. Mes parents m’emmener le jour de mon anniversaire en voyage, aux îles canaries, nos partirions dans la nuit et ma dernière journée ne se résumé qu’a un seul mot : Jonathan, je le passais avec lui et quelque unes de mes meilleures amies. Une chose est sur, il allait énormément me manquer pendant ces deux semaines, mais il faut le dire et si je te disais : Dis-moi, il y a quoi de plus important que la famille ?! C’est l’oxygène de l’être humain ! Je n’ai eu qu’une seule et vrai famille, mon père et ma mère et la chose que l’on appelle la deuxième famille, les amis, les véritables amis. J’étais sans doute la chouchoute de ma famille, étant la seule et unique enfant de ma famille, mes parents mon toujours donner le plus qu’il pouvait et m’imaginer un jour de vivre sans eux m’était quasiment impossible. C’est comme si ils étaient ma propre marque d’héroïne. La nuit tombé sur Rome, je passais mes derniers moments avec eux : Jonathan, mes meilleurs amis. 2 heures du matin, j’étais déjà dans l’avion qui m’emmenait dans cette destination de rêve, je ne vu pas les heures passée et c’est a 4 heures du matin que j’arrivais a destination. Mes parents avaient loué une voiture qui nous attendait déjà sur le parking de l’aéroport, et mon père pris les commandes de la conduite. Tout était parfait enfin presque tout. Un animal quelconque traversée la chaussée et mon père freinait de toutes ces forces, un dérapage incontrôlé et nous sommes arrivée dans le décor, mon père sortit ma mère morte de la voiture, puis m’ouvrit la porte m’allongeait a terre et tombait a coter de moi. Nous étions tous en train de mourir, c’était la dernière fois que je les voyais ma mère déjà morte avec son sang qui l’entourait quand a mon père qui n’allait pas tarder a nous quitter, la prochaine sur la liste de la mort n’était que moi, je ne voulais pas mourir maintenant mais tel était mon destin. Je sortais mon téléphone de ma poche et vit un dernier sms de Jonathan : Je t’aime bébé tu me manque déjà. Une larme coulait sur mon visage, rien de pire ne pouvait m’arriver, je ne pouvais répondre au message manque de force et je vis pour la dernière fois son visage sur mon fond d’écran. Plus de batterie, mon portable s’éteignait et je poussais un dernier cri de désespoir. Je voyais a ce moment la, une lumière, une lumière blanche qui m’appelait mais mon père me tenait la main, refusant de me laisser partir, pas maintenant, pas a cette âge, pas dans cette souffrance. Une jeune femme était planté devant moi, je l’avais déjà aperçu au paravent, il s’agissait de Elizabeth, une amie de mon père je croie. Elle me regardait mourir dans ma flaque de sang quand mon père la suppliait de me sauver, je ne comprenais pas ce qui voulait entendre par la mais avant de me quitter, il me disait une dernière fois : Je t’aime poussin, ne l’oublie pas … on se retrouvera. Mes larmes montaient mais Elizabeth se jetait sur moi, je n’eu le temps de bouger qu’elle m’avait déjà mordu, Elizabeth était un vampire, elle me transformer selon le désire de mon père. Je poussais des cris, des cris horrible que je ne pensais jamais atteindre cette note une seule fois dans ma vie, mes bras tremblé ainsi que tout le reste de mon corps, plus rien n’était normal, je ne comprenais rien. Je me réveillée quelques jours après, je n’avais pas oublié ma vie d’avant et je me demandais ce que ma vie allait devenir maintenant. Mon portable dans ma poche je voyais Jonathan et repensait a la dernière chose que je lui avais dit me trottait dans la tête : Prend mon âme et je sècherais mes pleurs, prend ma vie et je ferais ton bonheur, laisse moi te garder près de moi. Prend mon amour et offre moi ton cœur, prend moi dans tes bras je n'aurais plus peur, laisse moi te garder près de moi. Savoir que tu m'aimes pour effacer mes peines, te blottir contre moi; sûre que plus rien ne nous séparera … Une seule personne venait de nous séparée, Elizabeth, je lui devais respect et obéissance maintenant, elle était ma créatrice, comme un parent je crois, celle qui allait tout m’apprendre, celle qui venait de détruire toute ma vie. La sensation de manque, de manque de toutes ces personnes de mes parents, fut que mes larmes montait doucement a mes yeux et je ne put les retenir. Une nouvelle vie commençait et mon père m’avait toujours dit que j’étais le maitre de mon destin, le capitaine de mon âme. Je comprenais cette phrase mais la transformais a ma façon : Prisonnier de ma situation, je ne veux pas me rebeller. Meurtri par les tribulations, je suis debout bien que blessé. En ce lieu d'opprobres et de pleurs, je ne vois qu'horreur et ombres. Les années s'annoncent sombres. Mais je ne connaîtrai pas la peur. Aussi étroit soit le chemin, Bien qu'on m'accuse et qu'on me blâme Je suis le maître de mon destin, le capitaine de mon âme. Les jours s’annonçait sombre c’est sur, je n’avais plus personne et ma vie devenait monotone et sans intérêt depuis que je les avais tous perdu. Les années passèrent, j’avais maintenant 18 ans depuis 30 ans, j’avais finalement acceptée le fait de ne pas être comme les autres. J’avais tout compris, Jonathan était marié et avait des enfants avec ma meilleure amie et cela me faisait tellement plaisir, elle m’avait dit que je serais la marraine d’une de ces enfants mais cela m’était désormais impossible, elle me croyait morte et enterrée, il me rendait tout les jours visites sur ma tombe triste avec un bouquet de fleur et une plaque ou l’on pouvait voir : a mon premier amour que je n’oublierais jamais, a ma meilleure amie sans qui je ne suis plus rien , nous t’aimerons toute notre vie Jonathan & Kate. Une des leurs enfant portait le même prénom que moi : Houna Emily Jones et le nom de famille de Jonathan. Tout cela me bouleversée encore, j’étais devenue un vampire qui suivait l’ombre d’Elizabeth, ma créatrice.
« plus précisement ; »
» avatar, celebrité: Selena Gomez » age: 15 ans » pseudo ou surnom: Eva » sexe: Fille » que pensez vous du design: (y) » présence sur le forum:
[ ] TRES ACTIF (connexion tous les jours) [X] ACTIF (minimum 4 connexions par semaine) [ ] PASSAGER ( deux a trois connexions par semaine) [ ] ASSEZ EFFACE (une voir aucune connexion par semaine)
» le code du reglement: Ok by buff
Dernière édition par Houna E. Jones le Lun 8 Mar - 17:36, édité 3 fois
Blueberry H. Owens Blue' —blood is my life
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! Je n’ai eu qu’une seule et vrai famille, mon père et ma mère et la chose que l’on appelle la deuxième famille, les amis, les véritables amis. J’étais sans doute la chouchoute de ma famille, étant la seule et unique enfant de ma famille, mes parents mon toujours donner le plus qu’il pouvait et m’imaginer un jour de vivre sans eux m’était quasiment impossible. C’est comme si ils étaient ma propre marque d’héroïne. La nuit tombé sur Rome, je passais mes derniers moments avec eux : Jonathan, mes meilleurs amis. 2 heures du matin, j’étais déjà dans l’avion qui m’emmenait dans cette destination de rêve, je ne vu pas les heures passée et c’est a 4 heures du matin que j’arrivais a destination. Mes parents avaient loué une voiture qui nous attendait déjà sur le parking de l’aéroport, et mon père pris les commandes de la conduite. Tout était parfait enfin presque tout. Un animal quelconque traversée la chaussée et mon père freinait de toutes ces forces, un dérapage incontrôlé et nous sommes arrivée dans le décor, mon père sortit ma mère morte de la voiture, puis m’ouvrit la porte m’allongeait a terre et tombait a coter de moi. Nous étions tous en train de mourir, c’était la dernière fois que je les voyais ma mère déjà morte avec son sang qui l’entourait quand a mon père qui n’allait pas tarder a nous quitter, la prochaine sur la liste de la mort n’était que moi, je ne voulais pas mourir maintenant mais tel était mon destin. Je sortais mon téléphone de ma poche et vit un dernier sms de Jonathan : Je t’aime bébé tu me manque déjà. Une larme coulait sur mon visage, rien de pire ne pouvait m’arriver, je ne pouvais répondre au message manque de force et je vis pour la dernière fois son visage sur mon fond d’écran. Plus de batterie, mon portable s’éteignait et je poussais un dernier cri de désespoir. Je voyais a ce moment la, une lumière, une lumière blanche qui m’appelait mais mon père me tenait la main, refusant de me laisser partir, pas maintenant, pas a cette âge, pas dans cette souffrance. Une jeune femme était planté devant moi, je l’avais déjà aperçu au paravent, il s’agissait de Elizabeth, une amie de mon père je croie. Elle me regardait mourir dans ma flaque de sang quand mon père la suppliait de me sauver, je ne comprenais pas ce qui voulait entendre par la mais avant de me quitter, il me disait une dernière fois : Je t’aime poussin, ne l’oublie pas … on se retrouvera. Mes larmes montaient mais Elizabeth se jetait sur moi, je n’eu le temps de bouger qu’elle m’avait déjà mordu, Elizabeth était un vampire, elle me transformer selon le désire de mon père. Je poussais des cris, des cris horrible que je ne pensais jamais atteindre cette note une seule fois dans ma vie, mes bras tremblé ainsi que tout le reste de mon corps, plus rien n’était normal, je ne comprenais rien. Je me réveillée quelques jours après, je n’avais pas oublié ma vie d’avant et je me demandais ce que ma vie allait devenir maintenant. Mon portable dans ma poche je voyais Jonathan et repensait a la dernière chose que je lui avais dit me trottait dans la tête : Prend mon âme et je sècherais mes pleurs, prend ma vie et je ferais ton bonheur, laisse moi te garder près de moi. Prend mon amour et offre moi ton cœur, prend moi dans tes bras je n'aurais plus peur, laisse moi te garder près de moi. Savoir que tu m'aimes pour effacer mes peines, te blottir contre moi; sûre que plus rien ne nous séparera … Une seule personne venait de nous séparée, Elizabeth, je lui devais respect et obéissance maintenant, elle était ma créatrice, comme un parent je crois, celle qui allait tout m’apprendre, celle qui venait de détruire toute ma vie. La sensation de manque, de manque de toutes ces personnes de mes parents, fut que mes larmes montait doucement a mes yeux et je ne put les retenir. Une nouvelle vie commençait et mon père m’avait toujours dit que j’étais le maitre de mon destin, le capitaine de mon âme. Je comprenais cette phrase mais la transformais a ma façon : Prisonnier de ma situation, je ne veux pas me rebeller. Meurtri par les tribulations, je suis debout bien que blessé. En ce lieu d'opprobres et de pleurs, je ne vois qu'horreur et ombres. Les années s'annoncent sombres. Mais je ne connaîtrai pas la peur. Aussi étroit soit le chemin, Bien qu'on m'accuse et qu'on me blâme Je suis le maître de mon destin, le capitaine de mon âme. Les jours s’annonçait sombre c’est sur, je n’avais plus personne et ma vie devenait monotone et sans intérêt depuis que je les avais tous perdu. 
